Le PIB canadien croît faiblement à 1,2 %, le chômage s’établit à 6,3 %, et l’inflation tourne autour de 2,9 %.
Au Québec, la croissance est similaire (1,1 %) mais les prix montent un peu moins vite (2,6 %).
Le taux directeur de la Banque du Canada reste élevé à 4,25 %, freinant l’investissement et la consommation.
Pendant ce temps, la dette des ménages atteint 183 % du revenu disponible, un record au sein du G7.
Ces indicateurs révèlent une économie en transition : prudente, ralentie, mais encore résiliente.
La question reste ouverte : le Canada parviendra-t-il à concilier stabilité des prix, emploi durable et croissance verte ?
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